Pour la première fois, depuis l’élection de Napoléon Bonaparte président de la IIème République au suffrage universel en 1848, le Congrès est convoqué à Versailles, motivé par absolument aucune raison.
Si ce n’est de « s’exprimer devant les parlementaires ».
Pour le spoil, lundi, il sera sans doute question de « rigueur », de dettes « inacceptable », de se « serrer la ceinture », voire même de « faire un effort » (bah voyons).
« Comme d’hab » quoi, on est pas étonné.e.s.
Bref, les libéraux osent tout, et c’est même à ça qu’on les reconnaît.
Heureusement, il y’en a encore quelques un.e.s qui résistent. Dommage qu’ils aient eu l’indécence de venir sans cravate à l’Assemblée. (Tout à fait « ridicule » comme dirait ce cher Bruno Jeudy).
Je vous embrasse en toute bienséance,
Votre dévoué.
Nota bene : La publication en avance du numéro 3 est faite exprès, le Congrès advenant dès demain (c’est à dire le jour habituel de publication des MVER).
Pour les intimes, rassurez-vous, le planning standard des épisodes (tous les lundi quoi), reprendra dès le lundi 10 juillet, en son numéro 4.